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La vie d'anthropomorphe n'est guère facile notamment lorsqu'il y la religion ...
 
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 Nauthfae, Chef des Latari

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Nauthfae

Nauthfae


Messages : 9
Date d'inscription : 29/08/2014

Nauthfae, Chef des Latari Empty
MessageSujet: Nauthfae, Chef des Latari   Nauthfae, Chef des Latari Icon_minitimeVen 16 Jan - 19:28



Nauthfae


« Noss-fa-é »

Identité :
Âge : 21 ans
Sexe : Femme
Espèces : Lynx
Peuple : Latari
Rang : Chef
Orientation : Hétéro
Physique :
Nauthfae est d'une taille plutôt grande, elle mesure environ un mètre soixante-dix-huit. Anthropomorphe Lynx, ses oreilles sont plutôt longues et touffues, et sa queue courte, presque invisible de face. Son pelage est entièrement beige et peut légèrement varier en fonction de la lumière. Ses yeux sont verts et bleus, parfois plus l'un, parfois plus l'autre, entouré de marques noires, et d’une étrange marque de griffure tout à fait normale, elle aussi noire. Ses pupilles ont tendance à se rétracter ou à se dilater de temps à autre, en fonction de ses émotions et de sa personnalité. Ses cheveux sont, eux aussi, très longs, lui arrivant aux hanches ; ils sont lisses et d’une couleur proche du blanc cassé, voir ivoire. Sa raie est toujours de côté, vers la droite, lui cachant un œil. Ses griffes sont d’un blanc immaculé et toujours en bon état, tout comme ses ongles ; légèrement plus long que la normale.

Nauthfae porte toujours une robe très ample de couleur grise, avec un corset marron, pour la maintenir. Cela lui donne un style particulier qu’elle ne néglige pas. Une lanière de cuir posée autour de ses hanches tombante vers la droite de couleur marron clair, une sorte de ceinture légèrement dorée dans l’autre sens, on peut facilement s’imaginer avoir à faire à une voleuse ou une vagabonde. Mais revenons sur sa robe ; étant ample, elle dévoile les épaules de la Latari, et s’il n’y avait pas la présence de bracelets dorés peu après les épaules, sa tenue ne pourrait pas tenir. Les manches s’arrêtent au niveau des coudes où elle porte deux autres bracelets, cachant les extrémités des manches de sa robe, les rendant un peu bouffante. Pas de chaussures pour cette demoiselle, se contentant de bander ses jambes d’un tissu blanc presque jaune. Une véritable vagabonde, si cette tenue n’était pas agrémentée d’une boucle d’oreille étrange et précieuse : un large anneau à l’extrémité duquel part un fil… Non… Une chaine d’or minutieusement fabriquée, passant dans un anneau bien plus fin, puis sur une perle de rubis, semblerait-il, avant de faire demi-tour pour retourner à l’extrémité d’où elle partait et, une fois de plus, faire un aller avant de se laisser tomber, emportée par le poids d’une perle de rubis et d’un losange doré.
Comme tout Latari, Nauthfae porte un masque en dehors de ses terres. Habituellement, elle le porte sur le côté droit, cachant son oreille, dévoilant son visage. Mais hors de son territoire, elle le porte sur son visage, cachant tout, sauf ses yeux. Son masque est étrange car il s’ajuste comme pour former une seconde peau sur le visage de la Latari, grâce à son pouvoir. Elle laisse ses cheveux détachés ou forme une queue de cheval haute, maintenue par un fil métallique enroulé en plusieurs fois, facile à couper cependant.

D’ordinaire, son masque est blanc, le contour des fentes pour ses yeux noires et on retrouve la marque supérieur de son œil à gauche mais, ce dernier ne s’arrête pas en dessous comme à la normal. Formant une vague, il s’arrête au bord, ne laissant une épaisse trace des plus étranges. Sur le côté droit, pas de marque qui ressemble à celle de Nauthfae, une sorte de larme noir dans le coin inférieur gauche, puis deux autres petites plus loin. Sur son front, au niveau du troisième œil se dresse un losange noir, surmonté de deux points rouges et, en dessous, un autre losange, plus petit. Celui-ci est nommé « Elen Cama », traduit par l’Etoile de la Culpabilité. Les yeux de Nauthfae sont légèrement rétractés, mais luisant d’une certaine tristesse.

Le second masque est le même masque que d’ordinaire, bien que les motifs soient changés. Le contour des yeux reste noir, identique, et on peut observer, au-dessus de chaque œil, une spirale, toutes deux repliées vers la droite. Sous l’œil droit, une autre spirale, un peu plus grande, repliée vers la gauche, est présente. Sous l’oreil gauche, il y a trois spirales, toutes repliées vers la gauche. Elles sont toutes noires, mais chaque marque a un reflet rougeté. Sous ce masque, els yeux de Nauthfae sont incroyablement dilatés et lui donne un air mignon, voir inoffensif. Une lueur de tristesse semble luire, ainsi que quelque chose de mignon. Nommé « Ilascenë Nancarna », traduit par le Désastre Invisible.

Le troisième masque est toujours une déformation de l’originel, mais peu utilisé. En effet, il traduit un état de schizophrénie chez Nauthfae. Il est très simple : entièrement blanc, le contour des yeux noirs, la pointe extérieur vers le haut, cette fois, un losange massif sur le front, au niveau du troisième œil, noir ou rouge, avec une larme rouge ou noir sur chaque côté du losange. A cet instant, les yeux de Nauthfae n’ont plus aucune lueur, et la pupille est rétractée à son maximum, se résumant à une unique fente, presque démoniaque. Ce masque, nommé « Ormë Vorima », se traduit par la Colère Instable.
(image des masques)
Image

Caractère :
Notre chère petit Nauthfae souffre d'un phénomène nommé "Trouble Dissociatif de l'Identité" (TDI), pouvant aller jusqu'à la schizophrénie pure. Ainsi, il faudra bien distinguer les deux parties de la personnalité de Nauthfae, l'une intervenant tous les jours, l'autre uniquement lorsqu'elle porte son masque.

Ainsi la première Nauthfae, ne portant pas son masque, nourrit une certaine immaturité voir quelque chose de plutôt mignon. Bien qu'elle soit adulte maintenant, elle reste très enfantine mais compréhensive lorsqu'il le faut. Elle est équilibrée ; à la fois sympathique et attentive, avec une pointe d'humour, elle peut aussi se montrer très sérieuse et concentrée, sans excès. Elle aime beaucoup découvrir de nouvelles choses et il semblerait qu'elle ai un petit soucis psychologique : en effet, elle a une fâcheuse tendance à demander toutes sortes de faveurs, il arrive très souvent qu'elle finisse à passer une nuit chez une autre personne, en particulier un homme, car se sentant "trop seule et trop fragile pour dormir seule". Vous comprendrez bien vite pourquoi.

Portant son masque, Nauthfae aura un air plutôt froid et trop sérieux. Elle agira de manière solitaire et nonchalante, distante comme si jamais la vie ne pouvait briser sa prison de fer. Son masque l'aide à garder un visage impassible. Néanmoins, elle peut facilement basculer vers quelque chose de plus agressif voir arborer un air hautain, laissant croire qu'elle est égoïste et prétentieuse, peut-être même un peu géocentrique. Mais uen fois de plus, tout peut basculer à tout moment...


Pouvoirs :
Le premier pouvoir de Nauthfae est celui qu'elle utilise tout le temps. Elle-même le nomme "Macan Rauta", ou "Je forge le métal". Ce nom ne semble pas, en lui-même, signifier grand chose, puisqu'elle fait parti du peuple de Latari. En réalité, ces mots ont un sens bien précis, que seul quelques-uns peuvent comprendre. Ce pouvoir consiste à manipuler tout le métal que possède Nauthfae... Et il faut dire qu'elle en a beaucoup. Enfin... Ce pouvoir lui permet de faire ça. Mais comment son pouvoir arrive-t-il à identifier le métal de Nauthfae des autres ? Il a un composant bien spécifique, qui est propre à Nauthfae, issu de son second pouvoir. Revenons sur le principe et son action. Le métal a une forme qui lui est propre, naturellement. Nauthfae peut donc manipuler ce métal à sa guise, le déformer, les faire fusionner ou les diviser, à son gré. Néanmoins, cela demande une énergie constante et stable, et ne fonctionne, comme dit plus tôt, que sur les objets de la Latari, autrement dit, uniquement les objets de sa création. Bien qu'elle utilise ce pouvoir très souvent, elle ne semble pas capable de pouvoir faire des miracles avec. Elle ne s'en sert que pour se défendre ou attaquer, bien que le second cas ne se présente que rarement. Il est beaucoup plus simple pour elle d'utiliser ce pouvoir pour forger quelque chose de stable plutôt que de changer tout le temps la forme de la chose. Ainsi, cela se résumera à une épée, un arc avec une ou deux flèches ou la forme basique de ses accessoires métalliques. Quelques fois, en particulier lorsqu'elle porte son masque (qui, bien qu'en métal et modulable par Nauthfae, n'est pas affecté par ce pouvoir), elle pourrait créer un serpent métallique qui ne bougera que sous l'influence de Nauthfae et donc, sous l'influence de son pouvoir. C'est un phénomène des plus épuisant, et donc, elle ne l'utilise qu'en état d'urgence, si sa vie est en danger. Les émotions et les sentiments entravent l'utilisation de son pouvoir, créant des failles, des impuretés et des défauts sur l'objet forgé et ce, peut-être à vie.

Le second pouvoir de Nauthfae, appelé "Ontan Sio Astolitsë", ou "Je crée à partir de la poussière de sable", est un pouvoir qui en dit long sur lui-même. En effet, le sable étant toujours composé de métal, en particulier de fer (d'où le fait qu'un aimant dans le sable attirera des particules à lui), Nauthfae peut capter, ou attirer à elle, ces particules pour créer du métal. C'est un métal particulier, contenant l'énergie de la Latari. Ainsi, ce pouvoir permet l'utilisation de Macan Rauta. Néanmoins, puisque l'énergie de Nauthfae passe dans le métal créer, elle ne peut en synthétiser qu'une petite portion, équivalent à moins de deux kilogrammes par jour. Vous l'aurez compris, tous les accessoires métalliques de Nauthfae sont issus de ce pouvoir. Sans la présence de métal, en particulier de fer, la Latari ne peut pas utiliser Ontan Sio Astolitsë. Ainsi, il sera plus favorable qu'elle l'utilise sur sa terre plutôt qu'ailleurs.

Histoire :

Nauthafe est née d'un union interdit. Sa mère fut une Lendil et son père un Latari. Elle fut contrainte de vivre avec sa génitrice, quoi de plus normal. Tout aurait pu se passer pour le mieux... Si sa mère n'allait pas, chaque nuit, voir un autre homme ou en amener un à la maison. Qui pourrait grandir sainement dans une demeure où, tous les matins, un nouvel homme se présente à vous, un homme que vous ne reverrez plus que dans la rue, après avoir passé une nuit avec la personne qui vous a donné la vie ? L'éducation de Nauthfae fut défaillante ; née à la fois Lendil et Latari, elle ne pouvait pas comprendre les coutumes des Airs.

Alors, une fois, ce fut trop. Prenant le peu qu'elle avait, elle quitta la maison en jetant un regard haineux à la Lendil, claqua la porte après avoir crié quelques mots peu recommandables à sa mère. Dans la rue, tous la regardait. Pourquoi...? Son pouvoir, celui de créer des courants d'airs, sembla se déchaîner dans la rue, tandis que son visage fut envahi par la haine et le dégout. Mais très vite, ce pouvoir se retourna contre elle, l'engloutit, mais Nauthfae n'en tint pas compte, intouchable par son pouvoir... Du moins jusqu'à ce qu'il se dissipe d'un coup, sans jamais revenir. Elle venait de renier sa propre Déesse. Ce fut donc normal que tous les regards se posèrent sur elle. Des murmures, des messes-basses, des regards... Des gestes... Tout laissait croire qu'elle n'était plus la bienvenue ici. Elle quitta les terres de Lendil. Où irait-elle...? Trop marquée depuis la naissance par ce peuple qui l'accueilli, elle ne trouverait pas sa place chez quelqu'un d'autre. Qui accepterait une traitresse, une Lendil ayant reniée sa Déesse ? Aucun peuple en guerre. Son choix commença à se porter chez les Latari. Peut-être son géniteur était encore là-bas ? Accepterait-il de prendre sous son aile la jeune fille alors âgée de 12 ans ? Elle l'espéra.

Arrivant sur la plage métallique, posant ses pattes sur des grains brûlant sous le soleil d'été, elle marchait, épuisée par ce long voyage. Elle ne connaissait rien de ce lieu, pas même la position du village... Puisse-t-elle le trouver rapidement... Au loin, elle vit une silhouette... De longues oreilles, une personne plutôt massive, des épaules larges... Elle n'avança pas plus, laissant ses jambes se dérober sous elle. Elle perdit connaissance.
Rouvrant les yeux, elle se trouva dans une cabane. Une atmosphère étrange y régnait et une odeur familière y planait. Elle regarda un peu autour d'elle. Elle vit cet homme, celui qu'elle avait vu, avant de perdre connaissance. Il sembla surpris, et elle aussi. Oui... C'était bien celui que Nauthfae cherchait : de longues oreilles touffues, une carrure imposante laissant deviner sa situation de combattant, un visage tellement familier, dont les longs poils des joues tombaient gracieusement... Ce regard si similaire au sien... C'était bien lui, son père. Ce fut une rencontre des plus heureuse pour les deux.

Des années passèrent et, à treize ans, elle avait déjà bien changée : de longs cheveux attachés en queue de cheval haute, un masque des plus enfantins, une silhouette encore un peu enrobée mais plus allongée... Un pas sûr et décidé, une joie sans fin. Nauthfae gambadait dans les rues à la recherche de son père, se remémorant la promesse si importante : celle de lui montrer son travail. Il eut beau lui expliquer que c'était dangereux, elle n'écouta pas, voulant voir de ses propres yeux. Et ce jour était aujourd'hui ! Nauthfae trouva rapidement son père, et tous deux prirent la direction des terres de Linwë. Elle ne savait alors pas ce qui allait se passer... La rencontre avec une de ses soeurs, Milwën, le drame et... Tout le reste... Ce qui allait changer sa vie... elle ne savait rien.
La journée passa vite, elle fut bien remplie et, vers la fin de l'après-midi, son père trouva la cible qu'il devait achevé. Mais en la voyant, il ne put réagir. Nauthfae ne comprit pas ce qu'il se passait. Derrière, une jeune fille qui ressemblait étrangement à Nauthfae, sembla poser sur regard sur elle. Peu d'années les séparaient... Etait-ce...? Ooh, elle pria pour que ce ne soit pas ce qu'elle pensait que ce soit. Son père avait refait sa vie avec quelqu'un d'autre... Et voilà qu'elle se retrouvait là, en face de sa demi-soeur, qui semblait joyeuse. Non... Ce fut un sourire bien plus étrange. Il effrayait un peu. Nauthfae fut hypnotisée par ce regard étrange. Elle ne vit donc pas que ce n'était qu'une diversion. Derrière elle, une longue épine de rose se dressa, avant de charger sur elle. Seulement, aucune douleur ne suivit le son brut de l'impact, ni les gouttes de sang ruisselant sur le sol. Tous furent pris d'un air surpris. Nauthfae se retourna pour découvrir la scène réelle : cette arme avait été déviée par ton père, qui avait dû, pour cela, se la prendre de plein fouet. Un rire perçant vint déchirer l'air. La mère de l'autre fille riait. Mais sa fille sembla plus triste que jamais et un certain désespoir se matérialisa sur son visage. Nauthfae ne pouvait retenir ses larmes : tant de choses... Qu'elle aurait dû voir avec ce père qu'elle avait toujours rêvé de rencontrer. Jamais ne pourra-t-elle toucher le bonheur, ni même l'effleurer ? Cette journée était-elle une punition pour avoir renié Elendil ? Non, c'était bien plus que cela : une épreuve. La vie présenta à Nauthfae une sorte d'épreuve. Elle se leva, sembla afficher un sourire des plus sombres et, arrachant l'épine de sa victime, elle la lança sur la meurtrière. Trop surprise pour pouvoir agir correctement, elle fut blessée. Nauthafe avait tellement bien visé qu'elle avait transpercé ce coeur asséché. Néanmoins, cela ne lui suffit pas. Son regard se posa alors sur l'autre enfant. Apeurée... La peur... La haine... La tristesse et le désespoir. Voilà que cet enfant serait aussi maudit que la Latari, contrainte de vivre orpheline comme tu le faisais, contrainte d'avancer seule, sans aide. Nauthfae se retourna à nouveau, se baissa et récupéra tous les objets précieux au guerrier mort au combat. C'était de sa faute s'il en avait été ainsi. Elle lui ferma les paupières et, après un baiser d'Adieu sur le front, s'en alla. Pas de sépultures, pas de souvenirs tristes. La culpabilité s'empara de l'enfant, qui avait abandonné là un défunt de son peuple. Elle s'aventura sur les terres de Latari, s'arrêta au milieu de la plage, et se laissa tomber au sol ; depuis quand était-elle si faible ? Son masque tomba au sol, tandis que les larmes roulèrent sur ses joues. Pourquoi son père l'avait protégé, alors que cela ne faisait que trois ans qu'elle était avec lui ? Pourquoi donner sa vie pour elle ? La culpabilité laissa place à la rage et la haine. Le remord. Le sable métallique commença à léviter autour d'elle, tandis qu'un liquide gris se lit à léviter lui aussi autour de Nauthfae. Aah, quel doux pouvoir tu avais là. Très vite, ce fut un serpent qui se présenta à toi, un serpent de métal qui, de ses yeux perçants, d'un rouge intense, te fixèrent. "Hais les Lendils, détruis les Linwës. Souffre en silence et, dans ce gouffre sans fond, tu trouveras la force... La force de passer outre tout ceci et d'être vraiment neutre." elle entendait bel et bien cette phrase, résonant dans sa tête. Tendant le bras vers l'être de métal, ce dernier explosa, ne laissant qu'un masque étrange, quelques bracelets, trois boucles d’oreilles ainsi qu'une chaine fine, ornée d'un losange et d'une perle rouge. Il y avait aussi un minuscule serpent de métal doré. Prenant tous ces objets, Nauthfae retourna au village, d'un air des plus sombres. Portant au maximum son masque, traduisant sa situation difficile. Elle grandit donc, orpheline, dans un cadre très étrange, où chacun évitait de la croiser, alors qu'elle sevrait juste ce peuple et ce Dieu, Nólatári.

Les années passèrent et, âgée de dix-neuf ans, Nauthfae accéda au titre de chef des Latari, grâce à ses prouesses et sa fidélité envers le dieu du Métal. La haine silencieuse qu'elle nourrissait envers tous lui permettait d'être toujours plus forte, et de se sortir de chacune de ses situations, faisant taire émotions, sentiments et préoccupations. Ainsi avait naquis, des années auparavant, peu après la mort de son père, sa double personnalité, scellé par un masque. Cependant, certaines coutumes Lendil ne semblèrent pas s'effacer. Son coeur ne cessait de s’effriter et, rapidement laissa place à un gouffre, à une glaciale solitude, compensée involontairement par quelques troubles.


Derrière l'écran :

▲ Ton Nom ? Léa ♥

▲ Aurais-tu un PUF* ? Nahyda, Tayla, Nauthfae, artanis, Rin-Aozora, etc...

▲ Ton Âge ? 16 ans !

▲ Comment es-tu arrivé(s) jusqu'ici ? Fonda' qui m'a donné le lien ♥

▲ Le forum te plaît ? Mais oui mais oui ! :3

▲ quelque chose à rajouter ? Heu... Hakuna Matata ? :okjesors:

*PUF : Pseudo Utilisé sur les Forums
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